06 juin 2018

Fresque d'Hervé Di Rosa sur les façades de l'école Cuisine Mode d'Emploi(s) du Chef étoilé Thierry Marx

Un rendez-vous à ne pas manquer ! 

> le samedi 9 juin à 16h 
Inauguration de l'oeuvre d'Hervé Di Rosa 
en présence d'Hervé Di Rosa et le chef étoilé Thierry Marx  

Adresse : Cuisine Mode d'Emploi(s)
4 place Henri Barbusse  91350 Grigny 

Nous vous y attendons nombreux ! 

#ArtetCuisine 




Quelques photos de la fresque en cours 




Olivier Costa , Momo Hajaoui ; fresquistes
et Déborah en formation à Cuisine Mode d'Emploi(s)
 
Hervé Di Rosa, artiste peintre

Entre 1979 il commence à vendre ses peintures. A tout juste vingt ans, il est exposé à Paris, Amsterdam et New York. En 1981, Hervé Di Rosa cofonde le mouvement de la Figuration libre, ainsi dénommé par l’artiste Ben.
Progressivement, il diversifie ses approches artistiques au contact d’artisans dans un tour du monde qui le mènera en Tunisie, en Bulgarie, au Ghana, au Bénin, en Ethiopie, au Vietnam, en Afrique du Sud, en Corse, à Cuba, au Mexique, aux Etats-Unis, au Cameroun, en Israël. Sans revendiquer un style particulier, mais en développant un univers narratif bien à lui, peuplé de personnages récurrents, il a pratiqué toutes les techniques de création: peinture, sculpture, bande-dessinée, tapisserie, estampe, fresque, laque, argent repoussé, céramique, dessin animé, images numériques, entre autres. Il est également l’auteur ou le sujet d’environ 150 livres d’art et publications entre 1978 et 2014.
Concepteur de l’Art modeste, il fonde en l’an 2000, à Sète, le Musée international des arts modestes (MIAM), où il expose de nombreux artistes venus du monde entier et crée des expositions qui questionnent les frontières de l’art contemporain.
Depuis 1981, son œuvre a fait l’objet de plus de 200 expositions personnelles et est présente dans d’importantes collections publiques et privées en Europe, en Amérique et en Asie. Il vit et travaille actuellement à Lisbonne, Portugal.
« Je n’invente pas l'art modeste, je l'ai trouvé, je le fais vivre et je le fais dialoguer avec l'art contemporain. Le centre de cette aventure, c'est l’art contemporain. Parce qu'en face, il y avait le Centre régional d'art contemporain, de grande importance, on a longtemps cru que le Miam était un lieu anti-art contemporain. Pas du tout. Au contraire, j'ai fondé le Miam pour tendre un pont d'une rive à l'autre, aller vers le néophyte qui peut être attrapé par l'alibi des images du quotidien qu'il connaît bien et qui l'amènent vers des œuvres plus complexes. Certains vont vouloir approfondir et aller voir de l'autre côté.»









Dossier de presse ici

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